Fleurissement des églises

La décoration florale des églises est mise au service de la liturgie et personnalisée à chaque célébration par une équipe animée par :

-Budling Marie Madeleine GUIRKINGER , Elzange Marie Thérèse THOMAS , Inglange Jean ROCK, Agnes SALZINGER  , Koenigsmacker  Monique ETTINGER , Lemestroff Cécile WALLERICH , Métrich Lucie DEMARET ,  Oudrenne Marie Josée DORRE  ,  Valmestroff, Bernadette THILL

Vous appréciez régulièrement leurs réalisations dans nos différents lieux de célébrations : n’hésitez pas à les encourager, les soutenir, les rejoindre…

 

 Equipe fleurissement lors d' une journée de formation le 9 mars 2016

FLEURIR LA TOUSSAINT

 

FLEURIR LA TOUSSAINT 2016

FLEURIR LA TOUSSAINT

Chapelle de Valmestroff

La Toussaint, fête de la Communion des Saints nous donne à penser :

Une foule immense….. multitude de feuillages, du bois mort au bouquet de fleurs

Lumière , résurrection symbolisée par des bougies

Les Béatitudes …. fleurs jaunes pour l’entrée dans la lumière des saints, le blanc pour leur pureté

Quelques fleurs : physalis orange et les épines du cotonaester symbolisent le sang de l’Agneau, des martyrs et leurs  douleurs.

     

 

La Toussaint, fête de la Communion des Saints nous donne à   penser :

Multitude- Joie- Lumière…

En cette période automnale, la nature se pare de magnifiques couleurs et le chrysanthème est à l’apogée de sa floraison. La composition peut-être lumineuse et élancée avec les feuillages aux couleurs chatoyantes  de nos arbres, ou des houx ou cotoneasters aux baies rouges ;  composition accompagnée de quelques fleurs de chrysanthèmes jaunes ou blancs. La composition honorera la foule immense de ceux qui ont été des témoins lumineux du Christ.

 On peut également y rajouter des cierges dont la lumière viendra renforcer la luminosité voulue par la composition et cette lumière évoquera la liturgie éternelle que nous commençons de célébrer sur terre.

Pourquoi ne pas faire un montage de photos de grands saints qui nous ont précédés ( sur un chevalet ) devant un autre autel .C’est l’usage dans de nombreuses  églises.

 

A ELZANGE

Pour l’enracinement de la composition, une forêt de  cotoneasters  aux baies rouges a été  disposée dans trois contenants entourés d’écorces de peupliers, cette forêt est illuminée de chrysanthèmes blancs et jaunes et de cierges au nombre symbolique de 12 ( les 12 tribus d’Israël , les 12 apôtres… )

Ces bougies peuvent signifier … une foule immense, une foule de toutes les nations, tribus, peuples et langues …. : 1ière lecture de ce dimanche 1 novembre.  Dieu créateur accueille tout homme dans sa lumière ;  un refrain bien connu nous dit « Lumière pour les hommes, Seigneur, éclaire-nous ».

FLEURIR EN AUTOMNE

L’automne est la saison des feuilles qui tombent en tourbillonnant, les tons dorés  et chauds prennent la place des brillantes couleurs de l’été . Le dahlia est  le roi du jardin en automne, les nombreuses variétés nous proposent toutes les couleurs de la palette.

Pourquoi ne pas fleurir nos églises de la communauté avec du feuillage de nos forêts, ce feuillage se parant de mille teintes, festival de jaunes, d’orangé, de rouge, de mordoré allant jusqu’au feu. Le feuillage se suffit  à lui-même par toutes ces teintes ; contemplez les feuilles du hêtre, du chêne, du forsythia, et même les branches de groseilliers ou de framboisiers ou les feuilles mordorées des pivoines en ce mois d’octobre.

Dans la chapelle de Valmestroff, 3 vases rouge-orangé ont été placés pour former un bouquet trinitaire :

L’un avec des feuillages, les deux autres avec des dahlias de couleurs différentes.

COMMENT FLEURIR L’AVENT

 


A Valmestroff, composition florale simple, construite à partir de la méditation des textes des 4 dimanches de l’Avent.


L’enracinement se fait à partir de rondins de bois de différents diamètres.

4 pots de cyclamens, plantes peu sensibles au froid qui règne souvent dans nos chapelles , de couleurs de plus en plus  claires, 4 lanternes qui seront allumées au fur et à mesure des dimanches et un vitrail complètent l’ensemble.

La composition montre la progression de la lumière à travers l’espérance de l’avènement du Christ.

 

1ier dimanche : fleurs violettes foncées, c’est la nuit, point de départ d’une longue espérance.

2ième dimanche : la nuit s’éclaire un peu, fleurs rouges.

« Préparez à travers le désert le chemin du Seigneur »

3ième dimanche : le Magnificat fait éclater la joie, c’est le dimanche en rose.

« J’exulte de joie en Dieu mon Sauveur »

4ième dimanche : les fleurs sont blanches, la lumière est présente.

Le oui de Marie « Je suis la Servante du Seigneur, que tout se passe selon ta Parole »

 

Le vitrail : mystère de l’Incarnation

Le Christ est Lumière, le lis est le reflet resplendissant de la Gloire du Père.

« Et le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous »

Une fleur suffirait, l’essentiel est au-delà ; les espaces libres sont bien plus importants que les espaces pleins . Le visible est au service de l’invisible, il nous conduit à l’invisible. Le vitrail est comme le tableau de la Madonne du Magnificat de Botticelli.
Simone Weil a dit un jour : « la beauté est le sacrement du sourire de Dieu ». C’est pourquoi la composition liturgique est toujours un jardin de beauté. C’est la nature accueillie et transfigurée. Dieu pourra se manifester dans ce jardin liturgique.

 

 Article rédigé par  Bernadette THILL

 

 

Fleurissement pour l'avent à Valmestroff -  décembre 2015

ANNEE C

FLEURISSEMENT EVOLUTIF

Il faut d’abord se laisser « intérioriser » par les différentes  lectures de ces 4 dimanches.

L’Avent est symbolisé par un cadre évolutif et par 4 bougies qui seront allumées progressivement.

1ier dimanche, en bas à gauche : dans la 1ière Lecture, il y a un langage d’espérance, les bourgeons des noisetiers représentent la promesse qui va bientôt se réaliser, un nouveau roi va naître. Dans l’évangile : « restez éveillés et priez en tout temps ».

2ième dimanche , en bas à droite :  à la 1ière Lecture : les bourgeons poussent, sur l’ordre de Dieu, les forêts  et les arbres donneront  à Israël leur ombrage, et dans l’évangile  Jean - Baptiste dans le désert crie «  préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers ».

3ième dimanche, en haut à gauche, le Psaume de ce dimanche « Jubilez, criez de joie », dimanche de la joie. les branches rouges symbolisent le feu de l’esprit de Dieu, car d’après l’évangile celui qui vient vous baptisera dans l’Esprit Saint et le feu , et Jean-Baptiste représenté par un lys « nous baptise avec de l’eau »,  l’eau représentée par du papier cellophane.

4ième dimanche, en haut à droite : l’évangile selon St Luc nous dit : Marie se mit en route… et salua Elisabeth. Quand Elisabeth entendit la salutation de Marie, l’enfant tressaillit  en elle. Dans ce cadre évolutif, la rencontre des deux femmes est symbolisée par les fleurs rouges, Elisabeth et les fleurs blanches, Marie.

  Article rédigé par  Bernadette THILL

Fleurir le cierge pascal

Alléluia ! Christ est ressuscité. La vie a vaincu la mort.

 

Quelle belle mission que de fleurir la Lumière !

 

Nouveau chaque année, le cierge pascal est le symbole du Christ ressuscité ; la lumière jaillit dans la nuit de Pâques. Le cierge pascal continuera à briller jusqu’à la Pentecôte incluse. On l’allumera encore pour la célébration des baptêmes et des funérailles. Il ne faut pas que le cierge pascal gêne les déplacements  prévus par la liturgie ; le volume de la réalisation florale doit permettre d’accéder aisément  au cierge pour l’allumer ou l’éteindre à chaque eucharistie.

 

Nous, fleuristes d’églises, comment allons-nous essayer de montrer cette lumière dans nos compositions florales surtout les compositions pascales ?

 

Nous avons à faire « jaillir » la vie, vie qui jaillit dans la nature avec le renouveau saisonnier. Pou

r exprimer la lumière, deux couleurs s’imposent : le blanc éclatant et le jaune qui crée des points lumineux puissants qui attirent le regard. La composition pour le fleurissement du cierge pascal ne devrait pas se faire dans le creux du porte cierge. Elle doit partir du sol pour lui donner une dimension d’enracinement  et de jaillissement en laissant le cierge bien visible. Le bouquet devrait-être élancé, encadré par un feuillage. Enraciner la composition : partir d’une souche, de pierres ; elles auront aussi pour rôle de masquer un montage ou un contenant pas très beau. L’enracinement peut se faire également à partir d’un ou plusieurs vases posés sur le sol. La composition sera légère vers le haut et plus dense au pied. Les fleurs à tiges courtes ne pourront pas être placées en hauteur mais vers l’enracinement, ce sont les branches qui donneront la hauteur et feront le lien avec elles.

 

Quels végétaux choisir ?

 

Cela dépend de l’avancée du printemps ou bien il faut acheter les fleurs chez le fleuriste ; le choix sera alors plus vaste par exemple lys, arums, mufliers.

Il faut penser aux forsythias, jonquilles tulipes blanches ou jaunes, spirées, aubépines,  arbustes fleuris,  pommiers ou cerisiers  en fleur, lauriers, feuillages persistants, pruniers ou pourquoi pas les branches des arbres de nos forêts avec leurs feuilles naissantes.

 

Mais n’oublions pas que nos compositions florales ne doivent pas être trop sophistiquées et que la liturgie est toujours première. Et n’oublions pas de penser à l’entretien régulier de nos compositions.

Article rédigé par  Bernadette THILL

PRIERE D’UN PISSENLIT

 

Mon Dieu. Mon Soleil. Merci !

Qu’il fasse beau ou que le temps soit triste

je garde ma Lumière, je suis une petite étoile au coin des pelouses.

 

Je m’accroche à la vie avec une ardeur que l’on ne trouve pas assez chez les humains.

Devant les obstacles, je suis têtu comme une mule.

Aux trottoirs crevassés et poussiéreux, je tiens tête.

On m’en veut beaucoup.

Les maniaques des gazons verts ne peuvent pas  me tolérer.

Je les comprends bien, puisque je n’ai pas bonne réputation.

On dit beaucoup de mal à mon sujet.

D’autres se révolteraient, se cacheraient, se laisseraient envahir

par un complexe d’infériorité, ou se révolteraient…

J’ai pensé gagner l’amitié par la  douceur, en faisant valoir mes qualités,

en essayant de trouver une place dans la famille des fleurs, en respectant la place des autres.

 

Les botanistes me donnent de très beaux  et grands noms et étudient mes mœurs de vie.

Mais si compétents qu’ils soient à mon sujet, ils ne remplaceront jamais

la délicatesse d’une petite main d’enfant qui me cueille avec mes frères

et nous rassemble en bouquet pour l’offrir à sa mère.

Le regard attendri d’une maman me fait oublier toutes les méchancetés des autres.

 

Merci mon Dieu, mon Soleil, pour la vie,

pour le vent qui me fait danser,

pour le frémissement de l’abeille

pour le papillon léger qui me visite.

 

Merci mon Dieu,

Parce que tu m’aimes tel que je suis,

Parce que je m’accepte tel que je suis.

L’ART FLORAL AU SERVICE DE LA LITURGIE

LA LITURGIE EST PREMIERE

Notre démarche a évolué. La liturgie est première et la technique florale est à son service.

 

Il est indispensable de savoir :

-Ce qu’est la liturgie, bien la connaitre, les célébrations, les sacrements, les temps liturgiques…. Avent, Carême, Pâques, Pentecôte,…

-Que le bouquet n’est qu’un moyen. Il n’est pas là pour se faire admirer, il est là pour être louange, prière, moyen pour conduire du visible  ce qu’il est, à l’invisible, le Seigneur Créateur. Le bouquet est nécessaire  mais pas indispensable. La liturgie est première .L’art floral est une forme de prière décorative, cela nécessite un apprentissage mais surtout une démarche spirituelle. C’est un chemin.

Dans notre action de fleurir, nous devons avant tout rechercher la simplicité, c’est une démarche différente des fleuristes prof . On ne fleurit pas une église comme on fleurit une maison.

Fleurir en liturgie , c’est :

On offre en louange la création au Seigneur et à l’assemblée.

Cette nature, nous ne devons en rien la dénaturer,

Nous devons :

- d’abord savoir la regarder. C’est du vert en majorité, avec quelques taches de couleur. C’est l’arbre, la souche, l’eau, le sable, un chemin, des bois morts, des branchages d’automne, des feuilles , des fleurs, de la mousse des bois… des épis de blé ou autres genêts, branches de cèdre du Liban.

- savoir la respecter et respecter le rythme des saisons, le noisetier tortueux avec les petits bourgeons : hiver puis naissance de feuilles : mort et résurrection, dépouillement de l’hiver et promesse du printemps futur, les chatons sont porteurs d’espérance. Il faut laisser des espaces vides entre les fleurs.

- Pour fleurir en liturgie, il faut abandonner toutes les techniques sophistiquées, il ne faut pas suivre la mode.

LE BOUQUET LITURGIQUE

 

SA SPECIFITE

 Recherche esthétique et spirituelle sont associées.

Le bouquet liturgique est avant tout présence et offrande de la création. Ce n’est pas seulement le bâtiment église que nous fleurissons mais surtout l’Eglise vivante.

  • C’est le déroulement de l’année liturgique qui doit guider le fleurissement. Il faut avoir une connaissance de la liturgie, des temps lit.,  des textes liturgiques, du type de célébration (différence entre baptême, communion, confirmation, mariage, cierge pascal pour enterrement).
  • Attention aux grandeurs des églises.
  • Ne pas tout fleurir, trop de fleurs tuent les fleurs.
  • L’autel eucharistique ne devrait servir qu’à l’Eucharistie ou quelques fleurs pas plus hautes que le calice (Pascal Sarjas). Près de l’ambon : selon les textes du jour  ou selon le type de célébration ; mais sans le cacher, un bouquet pour les autres autels , pas 2, le cierge pascal surtout au temps pascal et Pentecôte et pour certains types de célébrations.
  • On peut aussi travailler  avec des tableaux, des  icones,
  • Si beaucoup de fleurs disparates , faire des bouquets trinitaires ; utiliser des bougies
  • Rechercher des éléments naturels pour économiser : bois, sable, cailloux ; les branchages d’automne qui laissent passer la lumière par leurs feuilles translucides.

Comment composer ?

« Dieu a créé la Terre puis il a fait verdir cette terre, puis il l’a fait fleurir et fructifier. Faites de même . » de Frère Didier de l’Abbaye de Tamié.

D’abord la terre : vase-pierre, racine. Puis disposez la forêt : feuilles, herbes, puis les fleurs et les fruits.

En conclusion, je dirai que fleurir une église n’est pas une opération effectuée au hasard. C’est un art qui répond à quelques règles basées sur un code des couleurs, un code de nombres (3=symbole) le code de la nature et sur la sensibilité en communion avec l’Eternel. Le bouquet doit s’harmoniser avec le caractère de la célébration. Frère Didier recommande « laisser des espaces de respiration, de silence, qui laissent la parole à Dieu. C’est avec la plus grande économie de moyens que l’on obtient la plus forte expression. L’économie n’est pas qu’un gain d’argent, elle est aussi un principe artistique, les moyens modestes ne sont pas misérables ».

 

FLEURIR LE CAREME

Le mot CAREME vient du latin « quadragesima », le quarantième jour étant le jour de Pâques.

40 jours du Christ au désert, 40 jours pendant lesquels nous sommes invités à nous préparer à la grande fête de Pâques, pas seulement un temps de sacrifice et de pénitence, mais surtout à nous concentrer sur l’essentiel, c’est à dire le Christ  Sauveur.

L’Eglise nous demande de pratiquer le jeûne pendant le Carême. Pourquoi ne pas faire pareil avec les

Fleurs ? Nous n’avons pas besoin d’être distraits par les fleurs.

Cependant, en art floral liturgique, nous pouvons évoquer ce temps  en gardant le même vase, les mêmes pierres, les mêmes souches. On peut les agrémenter semaine après semaine par un végéta différent qui donnera la dynamique des textes du jour. Il faut éviter l’abondance et tous les accessoires. La simplicité est de rigueur ainsi que le dépouillement.

 La nuit de Pâques, nous pourrons fleurir en abondance et ainsi laisser éclater notre joie de la Résurrection. Mais fleurir en abondance  ne veut pas dire tout fleurir.

 Article rédigé par  Bernadette THILL

L’AUTEL EUCHARISTIQUE ET SON FLEURISSEMENT

 

Dans nos églises, l’autel est le plus souvent le lieu de prédilection pour le fleurissement.

Mais  au N° 305 de la présentation générale du missel romain, nous pouvons lire « Pour décorer l’autel, on fera preuve de sobriété. Pendant le Carême, les fleurs à l’autel sont interdites à l’exception du 4ièmedimanche, des solennités et des fêtes. La décoration florale doit toujours être discrète et disposée autour de l’autel que sur la table. »

Voilà ce que nous disent les textes officiels , mais il est malgré tout possible de faire un bouquet sur l’autel à condition qu’il soit discret( pas de bling- bling), pas plus haut qu’un calice, orienté vers l’essentiel et en harmonie avec le bouquet liturgique et pour ne pas en faire une habitude, il serait peut-être bon de réserver ce bouquet à certaines occasions comme les grandes fêtes ou encore les messes d’enfants ou de mariage .

Cependant, certains prêtres ne veulent rien sur l’autel(parfois pour cause d’allergies aux fleurs) et nous avons à respecter scrupuleusement leur choix. Pascal SARJAS, le recteur du grand séminaire de Metz a précisé à Radio Jéricho, il y a quelques mois, que l’autel était uniquement destiné à l’Eucharistie, que les fleurs n’y ont pas leur place.

Il n’est pas souhaitable non plus que les compositions se trouvent devant l’autel, car cela occasionne non seulement une gêne, voire un obstacle, pour le prêtre qui aborde l’autel par devant, mais elles cacheront les sculptures ou bas- reliefs qui sont parfois d’une grande richesse . Il y a donc deux possibilités la droite ou la gauche de l’autel. Le choix se fera en fonction de la place du mobilier liturgique (ambon, cierge, croix ). Selon les temps liturgiques, la composition sera plus ou moins imposante : simplicité de l’Avent, joie de Noël, austérité du Carême, allégresse du temps pascal. La composition sera toujours en fonction des éléments naturels  de proximité et selon les saisons et nos régions.

 Il faut que l’homme , à travers nos compositions, aille à la rencontre de l’Invisible.

  Article rédigé par  Bernadette THILL

Voilà une photo de la chapelle pour la Ste Trinité:

"Un bouquet trinitaire avec des feuillages et fleurs cueillis dans la nature et les 3 bougies symbolisant le Père, le Fils et le St Esprit.

Nous croyons en un seul Dieu en 3 personnes. Chacune des 3 personnes est Dieu tout entier et chacune des 3 personnes n'existe qu'en union avec les deux autres dans une parfaite relation d'amour."

 

Nous voyons une composition pour le dimanche du St Sacrement, fête du Corps et du Sang du Christ

un pain avec comme inscription IHS, Jésus Homme Sauveur, des épis de blé

un raisin avec des feuilles de vigne

 et ce jour vendredi 12 juin: fête du Sacré - Coeur de Jésus, une petite icone du Sacré-Coeur de Jésus a été rajoutée.

Toujours dans une composition trinitaire."

 

 

   Article rédigé par  Bernadette THILL